Je pensais en avoir terminé avec les adieux madrilènes du maestro Esplá. Eh bien non. De toute façon nous n’en n’aurons probablement jamais terminé avec le maestro. Et c’est tant mieux. A ce propos donc, je vous engage plus que vivement à aller lire ce texte d’Olivier Deck, un plaisir…
Et en prime, peut-être même une définition de l'afición : "Mon rêve était si pur qu'il n'avait même pas d'objet. Vivre ça, point."