Ça va bien au-delà des toros ; et, trop absorbés par leur haine de l’Espagne, ils ne s’en sont sans doute même pas rendu compte lorsqu’ils ont décidé d’interdire.
La censure de la mairie de Barcelone a logiquement ému les confrères espagnols de Daniel Ochoa de Olza qui, si j’ai tout bien suivi — je ne suis vraiment pas doué avec Twitter —, ont créé le hastag « #fotosincensura » illustré par le montage ci-contre — joli clin d’œil, si j’ose dire.
À lire également le toujours excellent papier de grosse humeur de Vincent Pousson : « Barcelone : quand la fille de joie devient triste ».