21 octobre 2013

Une photo de passe (!)



Combien de jours, de semaines sans une photo de passe ?

Oui, une passe, souvenez-vous : un gugusse habillé de doré qui fait passer un toro avec un morceau de tissu… Vous voyez le concept ? Pendant que certains d’entre nous promènent leur afición dans des rues, sur des étals de boucheries et, bientôt, sur une chaîne de réfrigération chez Charal, je me suis dit que, ce soir, au cul du scanner, ça ferait peut-être plaisir à quelques lecteurs précieux de voir une photo de passe — un torero, un toro, du sable et quelques mètres carrés d’étoffe. Bien sûr, ce n’est pas Javier Conde en festival ; le dérapage reste sous contrôle. Il s’agit du grand Fernando Robleño, aka. ‘Fernandazo Robleñazo el torerazo’ avec un mauvais toro d’Escolar Gil, cette année, à Céret.

Ce n’est pas grand-chose : un cadrage basique, une media, avec la queue qui s’enroule autour du torero, l’anus bien visible (oui, c’est important) et la belle richesse de gris qu’offre le F100 combiné à la TriX. J’ai hésité à l’obscurcir davantage, pour donner du mystère ou je ne sais quoi, mais, finalement, je la trouve pas mal comme ça. Et puis juillet, Céret, Robleño…