Pour le Panis et Circenses de Jérôme j'avais pondu un commentaire qui débutait ainsi : « Que El Juli et les autres commencent par se farcir du Domecq cinqueño qui ne proviendrait pas des « usines à "toros" » favorites du mundillo... » Puis, me prenant au jeu de répondre à la question d'un des portails taurins où il-est-plus-aisé-de-trouver-un-torero-sur-son-lit-d'hôpital-qu'un-toro-sans-fundas, question qui, pour rappel, était posée en ces termes : « Si vous deveniez ganadero de bravos, de quel encaste et de quelle ganadería achèteriez-vous les produits pour former la vôtre ? », je me laissais aller à une révélation : « Moi, ça ne me dérangerais pas d'élever du Domecq... Je ferais l'impasse sur les élevages inscrits à la Unión, ceux qui produisent de "gros cochons encornés" — entre-temps j'aurais divorcé —, je mettrais tout le bétail au pré et ficherais une paix royale aux mâles pendant cinq années bien tassées — entre-temps j'aurais mis à prix la tête du banquier —, avant qu'ils ne finissent dans quelque rue du Levante, et moi, sur la paille... »Nota bene Ce post ne doit son existence qu'à l'effet conjugué de la fuite du temps et de l'engourdissement passager des doigts de ceux qui animent ce blog...
Image Campos y Ruedos ne possédant pas de photographies de toros de Domecq au campo... © http://www.editions-gang.com/