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21 juin 2013

« Les Picassos sont là ! »


Exposition au Kunstmuseum de Bâle, jusqu’au 21 juillet 2013.

Je recommande la lecture de l’article* de France 3 Alsace, dans lequel on ne manquera toutefois pas de trouver abusif le terme de « rétrospective » s’agissant d’une exposition Picasso composée de 160 peintures et dessins, qui plus est issus exclusivement de collections de la région bâloise…

* Ne pas oublier de visionner le reportage vidéo qui l’accompagne.


Pablo Picasso (Málaga 1881 – Mougins 1973)
L’Aficionado, 1912
Huile sur toile, 135 x 82 cm
Kunstmuseum, Bâle

02 juin 2013

« Las rutas del toro » font une pause à Pamplona


Pour celles et ceux qui feraient un petit tour à Pamplona durant le mois de juin — évidemment on a souvent tendance à y aller plutôt en juillet —, nous vous conseillons vivement de vous rendre au Nuevo Casino (Plaza del Castillo) pour y découvrir l’exposition de photographies de nos copains du site Internet Por las rutas del toro. ¡El campo en su ley!

Enhorabuena Gorka y Arsenio.



25 mai 2013

Images singulières 2013


Ça se termine demain, alors si vous êtes dans le coin il n’est pas trop tard.


Nous aurions pu vous le dire avant, mais nous avions déjà attiré votre attention, l’an passé, sur ces Images singulières sétoises.

Le millésime 2013 est excellent, vraiment excellent, à commencer par le travail du photographe résident Cédric Gerbehaye. On ne laissera pas  non plus passer le noir et blanc argentique du Polonais Adam Panczuk, au Théâtre de la mer, ou les atmosphères envoûtantes de Martin Bogren avec ses « Daybreakers », toujours dans un noir et blanc somptueux. 

Plus dérangeant (comme un clin d’œil à Diane Arbus), les portraits de Roger Ballen en format 4x4, etc., etc. Incontournables, donc, les rencontres sétoises, moins conceptuelles que trop d’expositions arlésiennes, gratuites ! et plus proches de nous sans doute que Visa pour l’image à Perpignan, moins photo-reportage brut, certainement plus sensibles.


Si vous avez l’opportunité d’y aller, profitez-en pour passer un moment de franche rigolade en ne vous épargnant pas les leçons photographiques du Belge Thomas Vanden Driessche. La leçon sur la photographie conceptuelle est particulièrement savoureuse ; nous vous l’offrons ici — cliquer sur l’image pour la voir en grand et en profiter pleinement —, ou rendez-vous sur le site du photographe pour retrouver l’intégralité du délire

Vous avez jusqu’à demain pour découvrir tout cela, et bien plus encore.

24 avril 2013

Joséphine Douet expose à Paris


Trois cas de figure possibles :

— Vous n’avez pas vu Manzanita à Séville et il vous manque.
— Vous l’avez vu, vous avez aimé et vous êtes nostalgique.
— Vous l’avez vu, vous n’avez pas aimé et ça tombe bien parce qu’il ne s’agit pas d’une expo sur Manzanares à proprement parler, mais du boulot de notre amie Pepina sur la route avec Manzanares et sa cuadrilla del arte, publié en 2009 sous le titre « Peajes ». 

Courez voir l’expo de Joséphine !



26 mars 2013

Antoine d’Agata


Écoutez pour voir… D’Agata, c’est différent. D’Agata ne peut laisser indifférent. Et pour provoquer, j’aurais tendance à penser que d’Agata, dans son genre, ce serait Nan Goldin avec une énorme dose de talent en plus… Blasphème ? Peut-être. M’en moque.

En tout cas, d’Agata est là, et bien là. Et c’est par là…


>>> Exposition « Anticorps. Antoine d’Agata », jusqu’au 14 avril 2013, au Bal, Paris 18e.

04 février 2013

C’est à Paris qu’il faut aller


Paris… C’est à Paris qu’il faut aller pour se rincer l’œil. Ça tombe bien, question toros c’est la période creuse ; le moment est donc idéal. Actuellement, trois expositions méritent un voyage à la capitale.

On commence par la Maison européenne de la photographie (4e), qui consacre une rétrospective au New-Yorkais Joel Meyerowitz, street photographer qui sévit en couleur.

Antoine d’Agata, le sulfureux et talentueux photographe marseillais de l’agence Magnum, est quant à lui exposé dans les sous-sols du BAL (18e), non loin de la place Clichy.

Enfin, Klavdij Sluban, bien Français comme son nom l’indique, est présent à la galerie La Petite Poule noire (11e) avec une cinquantaine de photographies autour de la mer Noire. Klavdij, que vous pouvez écouter, sur France Inter, dans l’émission Regardez voir ! dont il était l’invité le samedi 2 février dernier.

Enjoy.



Photographie Klavdij Sluban

08 janvier 2013

Souvenir, « Alma herida »


Vous connaissez le concept de slow food ? Voici celui de slow photo. La slow photo, c’est prendre une photo avec un appareil argentique pour faire le malin et feindre la démarche, attendre de faire quelque chose d’autre de sa vie pour finir la péloche, envoyer les films à Aurélien, récupérer les films, les scanner, les ranger dans des dossiers et se dire « merde, les photos de Céret ! » le 15 septembre… L’avantage, et c’est bien le seul, est que cela permet d’approvisionner des stocks d’inédits dans lesquels puiser quand les frimas ont chassé les toros et que l’on n’a plus que des rumeurs de mundillo pour passer la journée. En hiver, à moins d’être solidement armé côté moral, il arrive que la vie se décline autour d’une page de blog continuellement rafraîchie sans constater le moindre changement. Et là, c’est triste. Mais grâce au stock de slow photo constitué avec patience, voilà, lecteur, que nul n’est plus besoin de passer au porno gratuit à haut débit pour que s’écoule la soirée. Campos y Ruedos y Punk y Motörhead est là pour te tenir cette main qui déjà s’agite… Bref, il est temps, quand on n’a rien à dire, de piocher dans les bons souvenirs comme tout vulgaire médium en panne d’inspiration !

À Madrid, en mai 2012, au-delà des cites de trente mètres de Fandiño lors de la course d’Adolfo, de l’âpreté de celle d’Escolar et du sérieux de celle de Cuadri, nous eûmes le loisir d’admirer l’expo « Alma herida » de notre amie Joséphine dans le couloir des arènes. Pour dire la vérité, le concept ne m’a pas sauté aux yeux, et il a fallu que Paco le développe un peu pour moi dans ce magnifique post d’août dernier. Mais, parmi les photos, la force de celle de Ferrera (qu’on ne me soupçonnera pas d’adorer pourtant) m’a donné à elle seule l’envie d’aller revoir ce gars. Une force invraisemblable se dégage de la photo elle-même, comparable à la formidable humanité du regard ! Il n’y a bien sûr pas qu’elle (Joselito, Alberto Aguilar, Perera…), mais, ce soir, c’est celle-là. 

Et allez surtout relire le post de François !

17 octobre 2012

Domaine des Romarins


Communiqué

Du 24 novembre au 31 décembre 2012, le Domaine des Romarins (Domazan, Gard) organise un concours et une exposition de photographies taurines sur le thème de la corrida et du taureau de combat pour la temporada 2012. 

Pour tout renseignement :
domromarin@aol.com

22 septembre 2012

Soirée Atelier Baie et opus 3


Grosse soirée de l’Atelier Baie samedi soir à Nîmes, beaucoup de monde. Merci Bruno !

Une photo souvenir pour celles et ceux qui sont venus nous faire signer Campos y Ruedos 03 à l'occasion de l'exposition « José Tomás par Carlos Cazalis ».

Un peu de pub ne faisant pas de mal, je vous rappelle que vous pouvez toujours commander l’opus 3 de Campos… Oui, oui ! le troisième opus de Campos y Ruedos ;-)


01 août 2012

« Alma herida »


Le premier que j’ai vu époustouflé par la performance, c’est Batacazo. Et question émotion graphique, Bata, on ne l’impressionne pas avec du vent. C’était juste après une corrida, à Madrid, en juin, juste après être passé une fois encore devant les immenses diptyques que Madame Douet exposait par là. Bata était époustouflé, et moi aussi.

Il faut dire que ce travail-là, on l’imaginait plus logiquement dans une galerie d’art, aux Rencontres d’Arles ou même dans un musée — c’est au moment précis où je me faisais cette réflexion que Jérôme a déboulé, et m’a confié son émotion.

Mais le fait est que ce travail ne se trouvait ni dans un musée ni dans une galerie d’art, mais à Madrid, à Las Ventas, aux arènes. Pas grave. Pour le coup, tout le monde en a profité, ceux qui ont l’habitude des musées et des expos, et puis les autres, surtout les autres peut-être.

Onze toreros, onze toreros photographiés nus, sans habit de lumière, sans aucun autre décor qu'une lumière naturelle. Onze toreros nus avec leurs cicatrices. Ce jour-là, je suis arrivé très en avance. J’ai profité de l’exposition, puis je me suis collé au mur, et j’ai regardé le défilé des passants — les spectateurs de Joséphine.

La première fois où j’ai eu un choc visuel vraiment différent avec des photographies de corrida, ce fut avec le travail de Michael Crouser, exposé en format géant à même le sol du métro de Madrid. La seconde fois, ce fut cette fois-ci, avec cette série de diptyques de Joséphine Douet. Avec cette nuance que Joséphine, dans son écriture photographique, est allée bien plus loin que ne le fit Crouser, qui est finalement resté dans un témoignage assez brut, relativement didactique, quoique remarquable et très personnel.

Joséphine est même allée bien au-delà de ce qu’elle nous avait montré dans Peajes, son road-book avec celui qui fut notre cher Manzanita. Avec « Alma herida », Joséphine a totalement dépouillé la présentation de la fête des toros de tout ce côté traditionnaliste si ostentatoire. Elle a épuré les choses à un point tel qu'elle s’est aventurée dans des territoires où, à ma connaissance, personne n’était jamais allé en ce qui concerne la Fiesta.

Ce sont des toreros. Ils auraient pu être boxeurs, sportifs de l’extrême, ou autre chose. Mais ce sont des toreros, nus, avec leurs cicatrices et leurs regards, captés comme rarement. Témoignage direct, sans fard.  J’avoue (aïe ! Joséphine) ne pas avoir lu les phrases imprimées, les citations, car, après un premier passage, et de mon point de vue, les photographies se suffisent à elles-mêmes. Les photographies et le titre de la série : « Alma herida ». Épure totale.

Le format imposant — 2 mètres sur 1,50 m — et le dépouillement de l’œuvre pourraient renvoyer à une photographie contemporaine très en vogue actuellement (enfin, pas chez tout le monde), mais non. Il y a là une émotion, une part d'humain, que l’on ne retrouve pas dans cette nouvelle photographie trop souvent gratuite. En fait, seul le format pourrait y faire référence. Pour le reste, le supplément d’âme est bien là pour nous relier à l’homme, ainsi qu'à la réalité d’une profession tellement hors du temps.

Joséphine, franchement, bravo !


>>> La série « Alma herida » est visible par ici, et puis aussi par là.

12 juillet 2012

En peu de mots #13


Michonienne réflexion

À Sol y Moscas,

« Et j'ai envie de dire à ceux qui veulent pacifier la Bible, ce que Confucius répondait à une belle âme qui se plaignait de voir immoler les agneaux. Ce représentant de la SPA de l'époque s'indignait : “Mais pourquoi sacrifier encore un être vivant ?” Et Confucius lui avait fait cette réponse souriante : “Vous aimez les moutons, et moi, la cérémonie.” » Pierre Michon


Photographie de Ramón Masats (Caldes de Montbui, Barcelone 1931) issue de la série « Sanfermines » (1957-1960), actuellement exposée à Haro (La Rioja). Quarante-six ans après sa première édition (Espasa Calpe, 1963), « Sanfermines » a fait l'objet d'une seconde publication enrichie de cinquante clichés inédits choisis par Masats lui-même (La Fábrica, 2009).

24 juin 2012

En peu de mots #12


Il fait froid

Alpes italiennes (Trentin - Haut-Adige)
Des mains épaisses. Un bol de soupe. Des yeux bleus injectés de sang. Le silence. La caméra suit un homme au travail, un fardeau de paille jeté sur l'épaule. Il fait froid. Et gris. Cinquante ans à cultiver un lopin de terre ingrate, nourrir des poules, élever trois bêtes. Il est seul — sur la montagne, sous les sommets, face à lui-même. Il marque un temps d'arrêt, regarde la vallée. Il relève la casquette. Il va parler… Il parle : « Avant, il y avait trois familles. Là, là et là-bas. L'une après l'autre elles sont parties. Un jour, j'ai dit à mon père que j'allais partir moi aussi. Il m'a dit : “En voilà une manière de me remercier de t'avoir élevé ici.” Vous savez… la vie est dure par ici. » Les mots ricochent sur les rochers. Il fait froid. Il est le dernier.

Les photographies de Christophe Agou présentées au musée d'art Roger-Quilliot de Clermont-Ferrand1 ne montrent pas autre chose que cette séquence du film Alpi projeté lors du festival du cinéma de Brive : un monde oublié qui se meurt, « celui des petits paysans reclus sur leurs terres, guidés par le seul rythme de la nature2. » C'est triste, et beau. 

1 Exposition prolongée jusqu'au 19 août 2012.
2 Vidéo Arte.

14 juin 2012

Newton au campo


C'est au campo que Newton a eu la révélation de la gravité ; vous en voyez beaucoup des pommiers en ville ? Quelques siècles plus tard, son homonyme photographe a un jour délaissé ses troupeaux de filles inquiétantes pour aller photographier un taureau écossais quelque part dans un campo des Highlands. Le « bestiau », dépourvu de cornes, s'appelle Fred. C'est ce que dit la légende.

Pour terminer en beauté l'exposition du Grand Palais sur cette touche de tauromachie (générée à 90 % au moins par votre cerveau maniaque et pervers), entrez par la salle de droite et gardez celle de gauche (la verte) pour la fin. Sillonnez l'expo au gré des formats et des styles, au milieu des chiens et des filles, des stars et des couturiers ; prenez donc votre temps : c'est riche !

Une fois parvenus à Le Pen, Deneuve, Hockney, Wilder, Huppert, et renoncé à attendre que se vide la salle de projection, repartez vers la boutique, laissez traîner un œil en passant sur ces immenses formats de nu(e)s, sur la droite, ou ces digressions nues/habillées, sur la gauche, souriez en revoyant le clin d'œil à « La Mort aux trousses » et finissez donc par la fameuse salle verte (à droite maintenant). Profitez de « En attendant le séisme » et n'oubliez pas de saluer Fred the bull

Dans la boutique, prenez votre temps : vous aurez peut-être la chance d'entendre Caetano Veloso et Sergio Mendes. 

Coup de bol, le site du Grand Palais annonce : « En raison de son succès, l'exposition "Helmut Newton" est prolongée jusqu'au 30 juillet 2012 ! »

29 mai 2012

Images singulières 2012


C’est la quatrième fois, la quatrième édition ; c’est à Sète, dans différents endroits de la ville, et ça s’appelle Images singulières.

Forcément, on pense à Arles, en beaucoup plus petit. Une douzaine d’expos « seulement » que l'on peut parcourir tranquillement, en une journée agréable, sans courir. Et puis c’est gratuit, pas comme à Arles. En revanche, comme pour Arles, il y en a pour tous les goûts — certains aspects masturbatoires en moins.

C'est donc à Sète, jusqu’au trois juin. Personnellement, je vous recommande chaudement l’itinéraire algérien de Bruno Boudjelal. Avec une réserve, cependant : les tirages et leur présentation ne sont vraiment pas à la hauteur de la démarche du photographe, et desservent même totalement ce travail. Mais, une fois ceci pris en compte, laissez-vous emporter.

Bon voyage.

06 mai 2012

Las Rutas del Toro en Madrid


Nos compañeros du site et blog Por las Rutas del Toro, avec lesquels nous partageons le goût de la photographie et du campo bravo, sont au cœur de l'actualité. Ils exposeront certaines de leurs œuvres durant la prochaine San Isidro de Madrid du 14 au 27 mai 2012 aux arènes de Las Ventas.

De plus, ils viennent de présenter le nouveau design de leur site et de leur blog que vous pouvez retrouver aux adresses suivantes :
¡Enhorabuena Arse y Azpi!

26 avril 2012

En peu de mots #08


Il y a 75 ans

« C'est le 26 avril [1937] que, de 16 h 30 à 18 heures, la petite ville basque de Guernica fut la cible d'attaques aériennes menées par trois vagues d'appareils, dont des avions italiens et les bombardiers Heinkel 111 et Junker 52 de la Légion Condor. Puis les chasseurs Heinkel 51 prirent le relais, détruisant 71 % de la cité dont les maisons, souvent construites en bois, flambèrent. »

In Bartolomé Bennassar, La guerre d'Espagne et ses lendemains, Perrin, Coll. Tempus (n° 133), 2007, p. 207.


>>> Pablo Picasso (1881-1973) / Guernica, 1937 / Huile sur toile, 349,3 cm x 776,6 cm / Museo Reina Sofía, Madrid

Liens Expo dossier « Guernica Picasso » jusqu'au 1er juillet 2012 | Portfolio commenté (en castillan) du bombardement de Guernica | Fondation musée de la Paix de Guernica (en français) | « Guernica 3D »

Image Conception graphique atelier julian legendre

04 avril 2012

« Alma herida »


Du 10 mai au 10 juin 2012, Madrid, Plaza de toros de Las Ventas. C'est notre copine Joséphine qui expose… Affaire à suivre, of course.


29 décembre 2011

Diane Arbus


Rien de taurin, mais pour qui aime la photographie cette exposition-là est incontournable. C'est à Paris, au musée du Jeu de Paume, une rétrospective consacrée à la photographe américaine Diane Arbus.
Plus de deux cents tirages, dont évidemment les fameuses jumelles, photographie devenue icône.

« Rien dans la vie de Diane Arbus, dans sa mort ou dans ses photographies, n'était accidentel ou ordinaire. Ses images étaient décisives, mystérieuses et inimaginables, sauf pour elle. C'est ainsi que s'écrit le génie. » Richard Avedon


Bibliographie Violaine Binet, Diane Arbus, Grasset, 2009.

Lien
Un article sur le site de Télérama : « Diane Arbus, photographe écorchée ».

14 novembre 2011

L'Espagne


Vous aimez l'Espagne, la peinture et Paris.
En cliquant sur cette main puis sur « nouvelle exposition » vous accéderez à la présentation de l'expo « L'Espagne entre deux siècles (1890-1920), de Zuloaga à Picasso » des musées d'Orsay et de l'Orangerie.

*  *  *  *  *  *

Vous aimez l'Espagne, la lecture mais vous ne connaissez pas Cognac.
En cliquant sur cette autre main vous consulterez le programme des Littératures européennes où l'Espagne est à l'honneur du 17 au 20 novembre.


Affiche
 Un chouïa trop bleue, elle reprend le tableau Granadina (vers 1914) du peintre catalan Hermenegildo Anglada Camarasa (1871-1959) © MNAC - Museu nacional d'art de Catalunya de Barcelone.