Dans
Le Monde du 27 juillet,
Jacques Mandelbaum rend hommage à Bernadette Lafont, « la petite Nîmoise » : « Très triste matinée pour le cinéma français. C’est qu’elle était diablement attachante, Bernadette Lafont, qui incarnait une liberté, une insolence, un goût du risque et un mépris de la bienséance dont on sent bien à quel point ils manquent aujourd’hui, dans une époque à la fois vendue et pudibonde. »