07 mai 2009

Séville 2009, jeux de mains


Même à Séville, si à 50 ans on n’a pas une Rolex, on a quand même raté sa vie…

Quand la course de la tarde respire l’ennui et la faiblesse taurine, quand on a fini d’évoquer avec malice ce torero-saltimbanque croisé un beau matin tout d’habit de lumière vêtu au campo

C’est alors probablement le plus sûr moyen d’aller fricoter avec sa brune voisine…

Mais si la belle n’est pas réceptive aux charmes horlogers, on pourra toujours se consoler en buvant des canons avec ce bon vieux Jean Pedro…

Un roman-photo signé El Gandarien. Photos : El Gandarien & Petit-Paco.