Deux photographies, presque sans paroles.
La première, c'est la façade de la ferme de la ganadería de Justo Nieto (Vega-Villar ligne Encinas). Pour un peu, on se croirait presque chez Miura mais ici il n'y a plus que deux chevaux qui regardent errer les aficionados et écoutent piailler les poules et aboyer le chien. ¡Acabado!
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjJB8s6vDYUmC1pwiD7JZswuZLeXP2_29ZFCmumppy5mokjrUiHb6C_U1MwnyGAr6y-Ts5Dto92IJtEs0b1p0rlqRcvXUY4CAHnRhQ9eJj6OAUvTGk3EmLtIKJrND9imyTBjxF3zg/s400/justonieto2.jpg)
La seconde, c'est un futur novillo de Juan Sánchez-Fabrés (Coquilla/Buendía) qui survit malgré l'Europe, malgré la tuberculose, malgré le milieu qui ne veut pas de ses bêtes, malgré l'époque, malgré le froid en hiver.
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhQYDIZeKsi3aFfu465PYOfnCkHJtpnjClB20bB5-ZMFxPm1CxyRMUNzk9AJxR2QkLP1wBunNMJEfz1Ti5ZIv3hXUXwbPvQB-TL6tl0WGQUM4lRt-SgnsVp-jyzU4xjsleFbpeaZg/s400/sanchez+fabres+copie.jpg)