Ce portrait, je l’ai aperçu dans la nature morte de Jérôme et dans le noir et blanc de Frédéric ; je me rappelle l’avoir vu sur les hauts murs chargés d’histoire d’une de ces grandes familles, mais j’ai dû rêver. Cette élégante affiche tabac, œuvre du peintre Hernán Cortés Moreno, incarne à merveille « la beauté maladive et mystérieuse de Belmonte » (Ernest Hemingway).
15 avril 2013
Cortés y Hemingway
Libellés :
Affiches,
Ernest Hemingway,
Hernán Cortés,
Juan Belmonte,
Peinture,
Philippe Marchi,
Sevilla 2013