Surtout, n’oubliez pas de mettre le son.
Olivier présente lui-même ses rencontres : « Un bruit de voiture grandit. Puis lentement s'éloigne. Les fenêtres sont aveuglées par des plaques de cartons. Les néons baignent une grande pièce qui s'ouvre sur une chambre borgne. Ils arrivent. Un à un. À l'étage, un sac de sable est accroché au plafond. Ils enfilent un short et une paire de vieilles baskets, parfois un vrai maillot qui semble presque trop neuf. Tous se bandent les mains. Puis la voix de Carlos s'élève, emplit l'appartement et rythme le temps. La sueur se mélange à l'odeur du cuir. Le rituel est immuable et semble se répéter sans fin, jour après jour. Jusqu'au grand jour. Alors la lumière aveugle et les poings parlent. »
Olivier présente lui-même ses rencontres : « Un bruit de voiture grandit. Puis lentement s'éloigne. Les fenêtres sont aveuglées par des plaques de cartons. Les néons baignent une grande pièce qui s'ouvre sur une chambre borgne. Ils arrivent. Un à un. À l'étage, un sac de sable est accroché au plafond. Ils enfilent un short et une paire de vieilles baskets, parfois un vrai maillot qui semble presque trop neuf. Tous se bandent les mains. Puis la voix de Carlos s'élève, emplit l'appartement et rythme le temps. La sueur se mélange à l'odeur du cuir. Le rituel est immuable et semble se répéter sans fin, jour après jour. Jusqu'au grand jour. Alors la lumière aveugle et les poings parlent. »