
Les cahiers au feu, les arènes au milieu
Le 24 juin dernier, les pompiers n'avaient rien pu faire pour empêcher que des arènes en bois de Saint-Perdon ne restent que les soutènements en béton.
Un jeu de potaches qui a mal tourné. C'est en brûlant leurs cahiers de cours que quatre collégiens ont mis le feu aux arènes en bois de Saint-Perdon. C'était le 24 juin. Un mercredi après-midi après la classe. » Publié le 16/07/2009 à 17:56 Le Point.fr
Un ami prof dans les Landes m’avait communiqué son intuition d’enseignant : « Pour peu que ce soit des gamins qui aient mis le feu aux arènes de St-Perdon... Il va pas avoir l’air c… André Viard... »
Et bien c’est fait, idem pour Colmont. Ils avaient eu des intuitions eux aussi, mais pas les bonnes (voir éditos du 26). Et quand il se produira une grosse putada intra-taurine, ils auront l’intuition qu’il faudra se taire et faire taire... faute de preuves... Les exemples ne manquent pas.
Il y a désormais des responsabilités identifiées, des experts et des assureurs...
St-Perdon se reconstruira et tout finira bien. Laissons nos marteaux et nos visseuses à l’établi. Ne bloquons pas de journées RTT dévolues à la reconstruction.
Le jour de l’inauguration des nouvelles Arènes de St-Perdon, nous nous tiendrons devant la taquilla et nous mettrons la main à la poche comme nous le faisons depuis longtemps, sans tambour ni trompette ni prophète.
Mario Tisné
La photo vient du blog PhOtAuRiNeS.