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Pour ce genre de cornes, les journalistes espagnols - pas tous non plus - disent « sospechoso de pitones ». Evidemment dans ces cas-là on n’affirme rien, on ne démontre rien. Au mieux, ou au pire plutôt, on fait partager ses doutes.
« El quinto, sospechoso de pitones y áspero, no le dejó lucirse. » Joaquín Vidal, El País – 05/02/1988.
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