Chavela Vargas a fini par passer l'arme à gauche, nous dit-on du côté du Mexique. Faut dire que quatre-vingt-treize ans à picoler, fumer et écharder des
rancheras le long de ses cordes vocales plus râpeuses qu'une peau de requin à rebrousse-poil, ça doit user… Sans parler d'une vie que l'on imagine toute mexicaine et encastée. Vous avez dit « tripes » ?
« Ponme la mano aquí »…
(Une minute d'intro par Pedro Almódovar.)