• Pages 50-51. « Guide épicurien ».
« Visite ganaderías :
— Ranccío. Les frères Ángel et Rafael Peralta… C’est ici que Léa Vicens, rejoneadora, a transformé sa passion en carrière.
— Ganadería Santa Ana. Menée par Maurice Berho… »
La zone étant chiche en élevages dignes de ce nom, je comprends mieux les choix de la rédaction.
Chapitre « Coups de cœur »
Loren (qui prend une belle pose pour la photo parce qu’il le vaut bien) : « Léa Vicens est belle et elle torée bien à cheval. […] Son histoire ma rappelle un peu la mienne… »
Il a tenu deux lignes avant de causer de lui.
• Page 69. Titre : « J’ai vu toréer José Tomás ». Moi aussi, pourquoi ?
• Page 85. Julien Lescarret aime les fêtes de Bayonne.
• Page 94. Chapitre sur Béziers. Robert Margé : « On a toujours dit de Béziers que c’était la Séville française. »
Autrefois, à l’école, le maître nous enseignait que « on » est un couillon.
• Page 21. Denis Podalydès : « Avec les auteurs de la tauromachie, les Zocato, Durand, Albaladejo… »
No comment.
• Page 9. « Ainsi soit José Tomás », par Zocato.
Amen.
• Page 35. Pub pour Ecolocup, le gobelet écologique des férias, le machin bonne conscience pour se bourrer la gueule sans (trop) pourrir la planète et en perdant des euros.
• Page 30. Pub pour la temporada dacquoise. Quatrième de couverture, idem.
À moins d’avoir mal épluché le truc, André Viard n’a pas participé à la rédaction ; c’est une des rares bonnes nouvelles de cette publication.