07 février 2013

Du modernisme en art


Les copains de Campos y Ruedos, ils sont tous un peu conservateurs !
Ils n’ont pas encore fait leur révolution numérique, vous savez ? Certains utilisent encore de la péloche noir et blanc qu’ils ont stockée dans leurs frigos, la larme au groin et le Rolleiflex en bataille, quand Kodak a fermé boutique.
Ils n’aiment que le toro dur et le vin vieux, c’est dire !
Eh bien moi, je les trouve outrageusement modernes les copains !
Pensez-vous, de la photographie…
Moi, j’utilise de la peinture à l’huile, comme les ancêtres de Daguerre et de Nadar, moi !
Non seulement j’utilise de la peinture à l’huile mais, en plus, je l’utilise comme on le faisait au XVIIe siècle. C’est-à-dire que je mélange de l’eau à l’huile.
Notez, je vous prie, que c’est bien le seul cas pour lequel je mets de l’eau dans quelque chose, vu que je ne bois pas de Pastis (ou très peu…).