
Le Brésil... Ne me demandez pas quels liens ce vaste et lointain pays peut avoir avec les toros, je n’en ai pas la moindre petite idée. Ne me demandez pas non plus pourquoi cette classieuse et éclectique revue électronique se nomme ainsi. Probablement une question d’esthétique et de musicalité. Et c’est vrai qu’il a de l’allure, qu’il sonne bien, ce mot, TORO ; que l’on soit d’Oslo la scandinave, de Tökyö la nipponne ou de São Paulo la « ville monde ».
Au fait, est-ce que quelques-uns d’entre vous — parmi la poignée de ceux qui étaient déjà là au départ et qui n’ont pas quitté la gondole depuis — se souviennent du tout 1er post où l’on pouvait lire une « profession de foi » jamais démentie, ainsi qu’admirer une nymphe aux jambes aussi longues et fines qu’est court et « craquant » son nom ? Tandis que la revue brésilienne honore sa 3ème édition, la canadienne du même nom, dans laquelle les bêtes à cornes brillaient également par leur absence, a quant à elle cessé de paraître. Punaise ! Si avec de telles couvertures ils n’ont pas été fichus d’assurer leur existence, c’est à désespérer de tout !
Ceci dit, trois ans et demi après avoir fait de Kristin Kreuk sa muse, Campos y Ruedos, n’en déplaise à certains, remue toujours la queue — rrhôôô ! Et pour, un, remercier chaleureusement Laurent & ‘Solysombra’ de me permettre depuis deux ans d’avoir le plaisir d’entendre ma femme me répéter « C’est quand tu veux tu viens manger ! » et, deux, fêter avec vous ces 730 jours passés à vous assommer de 95 posts, je n’ai pas trouvé mieux que de vous offrir cette contrebasse (pour l’encombrement) et ce tourne-disque (pour la rengaine).
