04 avril 2009

Batán


C’est Javier Salamanca qui nous communique ce cliché récent d’un lieu où il faisait bon aller boire une caña, échanger avec les mayorales et, tout en dégustant quelques puntillitas, contempler les estampes que nous allions ensuite voir en piste. Tout cela sent bon le printemps, la peinture fraîche, et l’on se dit qu’il n’est pas impossible que nous y reprenions sous peu d’anciennes et agréables habitudes, malgré l’annonce d’un cycle isidril d’une rare médiocrité. Une médiocrité d’ailleurs pas forcément liée aux absences de Tomás, de Ponce, et encore moins de Cayetano, frangin de l'autre, le niño de las bombas, récemment médaillé, on se demande bien pourquoi. ¡Vaya taurinos!