11 avril 2008

Toros y Vinos… à "Mirandilla" (I)


Assez curieusement, le premier post « Toros y vinos » a suscité quelques réactions et des échanges d’e-mails. Cela n’a rien de curieux d'ailleurs, puisque les deux sujets présentent des similitudes, non pas troublantes, mais évidentes.
Vous connaissez déjà Fabrice Torrito, ce Nîmois qui vit en Andalousie. Nous le croyions presque perdu, paumé au milieu de ses bêtes, comme coupé du monde. Pas malheureux non, bien sûr que non, mais sans doute un peu ailleurs. Et c’est au moment où nous nous y attendons le moins qu’il nous fait signe, depuis sa finca, enfin, celle du marquis, et se rappelle à notre bon souvenir. Fabrice est loin d’être isolé dans cette Andalousie qu’il a fait sienne. Et quand vous allez savoir ce qu’il picole en plein campo, tout en se régalant de la vision de quelques bravos, j’en connais quelques-uns qui vont me demander de leur organiser le voyage.
Il y a déjà quelque temps que Fabrice réfléchit aux liens qui sont communs à ces deux mondes. Et ses activités chez le marquis lui ont permis de concrétiser et conforter ce sentiment qu’il partage avec nous. Je ne vous en dirai pas plus, pour l’instant, sur le côté concret de la chose - d’abord vous proposer les réflexions passionnantes et évidemment pertinentes de Fabrice. La suite au prochain épisode, cela va de soi... En attendant, je vous laisse avec un campo non pas andalou mais portugais, classé au patrimoine mondial de l’humanité. Ce n’est pas un campo à toros, mais à grands portos, dans la haute vallée du Douro, pas très loin de Pinhão pour ceux qui connaissent.