Madrid, 1996 © François Bruschet |
Casas de mundillo
À la lecture des carteles des prochaines festivités nîmoises (Vendanges en septembre, piquette à Pentecôte), je me gausse a) des trois confirmations d'alternative annoncées puisque Diego Urdiales, le 8 juillet 2001 à Madrid, et Iván Fandiño, le 12 mai 2009 à Madrid, ont déjà confirmé — Jiménez Fortes attendra quant à lui de (re)passer par Las Ventas —, et b) de la présence de « Paquirri » (sic) comme chef de lidia de la coursiquette du 24 mai. C'est bien simple, en partant de l'affiche d'Albacete (20 juin 2010), où Francisco Rivera Ordóñez décide d'utiliser pour la première fois l'apodo Paquirri1, et en remontant jusqu'au programme de la Pentecôte nîmoise, seules les affiches des Fallas 2011 et 2012 des arènes de Valence, également tenues par M. Domb, indiquent : « Paquirri »2. Étonnant, non ?
1 Francisco Rivera Ordóñez est le fils aîné de Francisco Rivera Pérez 'Paquirri' décédé le 26 septembre 1984, à 36 ans, des suites d'une cornada reçue le jour même à Pozoblanco (Cordoue).
2 Sur les 28 autres affiches (moins celle de Munera du 17 avril 2011, introuvable) figurent les mentions « Francisco Rivera Ordóñez », « Rivera Ordóñez », « Rivera Ordóñez 'Paquirri' » ou « Francisco Rivera 'Paquirri' ».