Ce n’est pas une photographie sans paroles, sans nom, ou anonyme.
C’est à l’inverse un émouvant souvenir. Chamón Ortega, Cenicientos, une novillada terrible, un vieux négatif argentique remonté du fond de mes archives.
Chamón Ortega n’a pas percé, n’est pas devenu une figure du toreo. Mais le souvenir de cette course, et ce vieux négatif, hantent souvent mes rêves d’aficionado.
Je me demande ce qu’est devenu Chamón Ortega.