Même à Séville, si à 50 ans on n’a pas une Rolex, on a quand même raté sa vie…
Quand la course de la tarde respire l’ennui et la faiblesse taurine, quand on a fini d’évoquer avec malice ce torero-saltimbanque croisé un beau matin tout d’habit de lumière vêtu au campo…
C’est alors probablement le plus sûr moyen d’aller fricoter avec sa brune voisine…