09 mai 2010

Vrac d'un dimanche soir ordinaire


Nous n’y étions pas, mais deux trois coups de fils et les avis convergent. Alors je vous le dis. Madrid, dimanche 9 mai 2010, une après-midi entretenue, des toros souvent nobles, le dernier assassin. De la puissance, de l’émotion. Et Rafaelillo qui confirme l’excellente impression laissée à Arles devant les Miura pas plus tard que le mois dernier. Bref, ils ne se sont pas ennuyés, loin s'en faut.
Sinon, Fabrice Torrito, 500 kilomètres plus au sud, vient de nous dire qu’en ce moment le campo est tout simplement « exubérant » mais que ça ne va pas durer. Alors il faut y aller. Nous allons y aller.
Du côté de New York il fait beau également mais on s’en fout, car il n’y a pas de campo et nous n’y sommes pas. Enfin, Fred oui, mais là aussi, ça ne va pas durer. Dans ce vrac sans queue ni tête d’un dimanche soir ordinaire, la photo ci-contre c’est un énorme morceau de Dolores Aguirre qui décolle dans le ciel de Madrid.
Espérons que les avions de Ryanair auront la bonne idée de faire de même en début de semaine. Nous n'allons tout de même pas nous laisser emmerder par un volcan, islandais qui plus est !
Et le matador, sur la photo, c'est Domingo Valderrama. Mais ce n’était pas aujourd’hui, c’était il y a longtemps. Je l'aimais bien Valderrama. Voilà, c’était juste comme ça, histoire de... Bref, Dolores Aguirre.