Ce dimanche était dédié à un édito en 2 volumes où Fœtus et Toros se partagent la vedette, édito qui nous invitait une fois de plus à une réflexion salutaire et ô combien rafraîchissante.
Or donc, en ce dimanche de l’Indignation d’avant l’Assomption, les yeux se tournaient vers les professionnels de la contestation : retraités de l’ANDA, activistes de CyR et autres militants patentés toujours utiles à exercer les besognes où le notable taurin évite de se commettre.
En ce dimanche de marquises effarouchées... on vous interrogeait du regard... « Eh ! déconnez pas ! Vous allez dire quelque chose ?! »
Les instances de l’OCT (dont la FSTF et les Paul Ricard), celles de l’UVTF, les commissions taurines qui délivreront les « pass » et les accréditations, les décideurs responsables et autres penseurs généreux vont, j'en suis certain s’accommoder de cette douloureuse situation. Un moment de honte toute bue est vite oublié... Et donc je leur dis ex cathedra qu’il n’est pas utile de nous rappeler leurs bons sentiments alors même que leur silence est une approbation de fait.
Et maintenant, mes biens chers frères et sœurs, je vous invite à vous lever et nous allons prendre le cantique page 69 : « Se canto, que canto... »
Mario Tisné, chanoine.