Je vais vous faire une confidence. Depuis presque trois ans que je me suis mis au tout numérique, je crois que je viens seulement de comprendre comment tirer le meilleur parti de mon scanner à négatifs. Jusqu’à il y a peu, je scannais avec une définition de 4000 pixels, alors qu’un réflexe numérique donne des fichiers avec une résolution de 300 - si j’ai bien tout compris. Résultat des courses, du grain, du grain, et la moindre poussière... Enfin, si j’ai bien tout suivi. Depuis peu, je scanne avec une définition de 400 pixels ce qui semble m’autoriser tous les espoirs quant à la résurrection de mes vieux négatifs. Ici, c’est José Tomás en Arles, c’était il y a longtemps, c'étaient ses débuts et une de ses rares prestations chez nous.
Ah... vous êtes déçus. Vous pensiez que j’allais vous expliquer pourquoi Tomás ne sera pas à Madrid. Je n’en n’ai pas la moindre idée figurez-vous. Pas le moindre début de la plus petite explication. Je n’imagine pas que ce type ne puisse pas faire face à la pression de Madrid, Bilbao... Ou alors il est encore plus jobard que ce que j’imagine. Le fric ? Le sujet m’intéresse tellement peu, et puis ne fréquentant pas les cuisines et encore moins le coin poubelles du mundillo... La télé ? Peut-être... Allez savoir ! Tout ceci ne m’empêchera pas d’aller le voir à Barcelone, avec El Juli, le 20 avril prochain. On clique sur la photo. C'est impressionnant mais sans conséquences.