Ni le ramage, ni le plumage... Rien. Nous avons eu droit à un défilé de cinqueños, sans aucun trapío, bastos, certains anovillados ou terciados et, surtout, aux comportements tellement éloignés de ce qui a fait leur histoire, et leur légende, notamment à Alès. Pour ceux qui se souviennent de leur présentation alésienne, sous la pluie, avec un Galloso héroïque, ou le mano a mano Milian - Fundi, voir aujourd’hui cette course sans forces, parfois invalide, sans aucune présence ni poder est une peine. Côté torería rien de particulier à signaler. Marc Serrano a coupé deux oreilles pour une faena allurée mais sans grande profondeur. Même la musique était mauvaise. Heureusement, le soleil printanier... C’était aujourd’hui à Vergèze.