Le maestro Rincón n’aura donc pas droit à une despedida madrilène... Pfff... Trop dur, trop déçu. Bien sur qu’il est fatigué, au bout du rouleau, et qu’on ne peut lui en vouloir après tout ce qu’il nous a donné. Mais la déception est grande tout de même. Il nous reste nos souvenirs. Tiens, jamais publiée celle là. C’était avec 'Bastonito'...
31 août 2007
Il nous reste nos souvenirs...
Le maestro Rincón n’aura donc pas droit à une despedida madrilène... Pfff... Trop dur, trop déçu. Bien sur qu’il est fatigué, au bout du rouleau, et qu’on ne peut lui en vouloir après tout ce qu’il nous a donné. Mais la déception est grande tout de même. Il nous reste nos souvenirs. Tiens, jamais publiée celle là. C’était avec 'Bastonito'...
Libellés :
Baltasar Ibán,
Bastonito,
César Rincón,
François 'Solysombra' Bruschet,
Madrid 2007