31 août 2007

Betialai


C’est Bastonito dans son blog qui nous renvoie vers ce post : La torpeza, écrit par Betialai.

Ce papier est d’une telle pertinence que malgré sa longueur il nous faudra bien songer à la traduire pour ceux qui ne lisent pas la langue de Cervantes.

Il s’agit d’une critique du toreo de José Tomás tel qu’il le distille depuis son retour. Je ne l’ai vu qu’à Barcelone et serais donc bien en peine d’émettre un avis autorisé sur la question.

Voilà, en tout cas, qui mérite réflexion.