Dans son dictionnaire taurin publié en 1987 Luis Nieto Manjón au mot trapío indique, entre autre, que d’après Cossío, ce terme provient du langage des marins qui l’associaient à la voilure. Et en 1976, dans El País Joaquín Vidal avançait : « Le mot Trapío était employé en matière nautique pour désigner la voilure déployée d’un navire. Le navire atteint le sommet de sa majesté lorsqu’il avance avec les voiles gonflées par le vent. Le trapío est une chose difficile à définir, c’est ce qui se voit et se sait, mais que l’on ne peut quasiment jamais expliquer. Le trapío c’est la majesté du toro. C’est sa grâce, sa prestance, son incomparable apparence de puissance et de sauvagerie. S’il présente l’âge requis et le trapío le toro est apte à la lidia, bien qu’il soit petit…"
11 novembre 2005
Trapío (V)
Dans son dictionnaire taurin publié en 1987 Luis Nieto Manjón au mot trapío indique, entre autre, que d’après Cossío, ce terme provient du langage des marins qui l’associaient à la voilure. Et en 1976, dans El País Joaquín Vidal avançait : « Le mot Trapío était employé en matière nautique pour désigner la voilure déployée d’un navire. Le navire atteint le sommet de sa majesté lorsqu’il avance avec les voiles gonflées par le vent. Le trapío est une chose difficile à définir, c’est ce qui se voit et se sait, mais que l’on ne peut quasiment jamais expliquer. Le trapío c’est la majesté du toro. C’est sa grâce, sa prestance, son incomparable apparence de puissance et de sauvagerie. S’il présente l’âge requis et le trapío le toro est apte à la lidia, bien qu’il soit petit…"