25 juillet 2012

Feuille à feuille


Campos y Ruedos, c'est comme le bon vin, une fois tiré, il faut forcément le goûter. Nous vous proposons un effeuillage virtuel, pour vous rincer l'œil à défaut du gosier, sur quelques planches du volume 03 qui vient de paraître au début du mois de juillet.
Après avoir résolu quelques problèmes informatiques (merci Coco !), nous sommes en mesure de vous présenter le nouveau livret en page d'accueil du site. Vous connaissez le système : il suffit de cliquer pour voir les pages tourner toutes seules. Vous trouverez aussi les informations nécessaires afin de vous procurer la version papier de ce qu'il convient d'appeler, Le Livre. Et un livre, vous le savez, nous l'avons déjà longuement décliné, c'est utile pour quantités d'usages quotidiens.
Un livre, c'est comme un couteau suisse mais en mieux. Un livre, ça peut tout faire, ça peut même rendre intelligent. Un couteau suisse, non ! Y'a rien d'écrit sur un couteau suisse. Y'a juste une croix. Oui, oui ! Bon, c'est sûr, y'a le tire-bouchon avec le couteau suisse. Certes ! Mais qui vous dit que pour l'achat de 8 745 exemplaires de Campos y Ruedos 03 nous ne vous offrons pas un tire-bouchon, hein ? Qui vous le dit ? Vous n'avez qu'à prendre contact et vous verrez bien…
Notre éditeur, Atelier Baie, fortement lié au monde du vin, lui qui publie la revue In Vino, ne reculerait sans doute devant aucun sacrifice. Il ajouterait, pour vous être agréable, un cadeau supplémentaire pour chaque palette de 250 cartons commandés. Certainement un objet de bon aloi, simple et de bon goût, le bec verseur antigouttes en inox dont vous rêviez pour la fête des Pères… À vous de jouer, le bon de commande au format PDF est à votre entière disposition, ici même.
Rendez-vous sur la page d'accueil pour feuilleter tranquillement quelques extraits du troisième tome.
N'hésitez pas non plus à parcourir toutes les rubriques où vous attendent de nombreuses galeries : « Campos », « Ruedos », « Photographies », et ça, ça n'a pas de prix… D'ailleurs c'est gratuit !
À propos d'effeuillage et de prix, vous remarquerez qu'aucune demoiselle, légère et court vêtue, n'accompagne la promotion de ce merveilleux ouvrage à haute valeur tauromachique. Elles commençaient à devenir exigeantes, alors on les a envoyées se rhabiller…