
... Quoique joliment présentée, mais manquant trop souvent de fond ou de puissance pour donner un relief véritable à cette après-midi. Seul le troisième
toro, véritable machine à
embestir, réservoir de caste, se montra supérieur à ses frères. Il prit trois piques et Alberto Aguilar peut remercier le
palco de lui avoir imposé la troisième malgré sa demande de changement car, ensuite, et malgré sa bonne volonté, il ne sut jamais se hisser à la hauteur de son adversaire. Trois piques sans grande histoire pour cet excellent Santa Coloma. La
vuelta au
toro, malgré ses qualités, était totalement hors de propos, ainsi que les deux oreilles au matador. Sinon, des gestes de Diego Urdiales.
Poca historia.