Voici ce qu’a écrit il y a quelques jours Pablo García Mancha dans son blog Toroprensa : « Je ne sais comment vous raconter ce que j’ai vécu hier en place de Calahorra. Bon, eh bien, Juan José Padilla avant de débuter la faena du quatrième, a obligé un de ses subalternes à saluer – il avait réalisé une lidia impressionnante après la défaillance de son patron – et il lui a ensuite offert la muleta pour qu’il lui fasse la faena. Les gens n’en pouvaient plus du ciclón de Jerez, et ont commencé à lancer toutes sortes de projectiles dans la piste et le diestro s’est retiré à la barrière refusant de continuer le combat. Au final, lorsque cessèrent les jets, Padilla pris les trastos sous une bronca monumentale, aussi monumentale que la corrida envoyée par Dolores Aguirre : six pavos impressionnants qui arboraient des armures aiguisées et astifinas et qui ont reçu une moyenne de six ou sept puyazos donnés chacun dans les règles. Comme j’ai été témoin de cet événement, personne ne pourra nier que cela est arrivé… »
Alléluia ! Ça existe encore ! Un toro, que dis-je, une corrida entière capable de prendre six ou sept piques par animal ! Alléluia ! Ça s’est passé à Calahorra, au mois d’août de l’année 2006.
Pour le reste, Padilla je veux dire... quelle importance ?
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