Pour faire très court, un semestriel de 350 pages pour 25 euros, une qualité d’impression irréprochable, et le travail des photographes mis très en avant avec des portfolios de plusieurs dizaines de pages, le tout imprimé sur un papier dont la qualité est à la hauteur de l’ambition. Un luxe quoi, et un pur bonheur pour les amateurs de photographies, et les autres aussi.
Le fond, la forme, et 0 % de pub… Comme Campos y Ruedos quoi ;-)
Inutile de trop s’étendre, sinon vous engager à aller acheter l’objet, et citer cette phrase de Laurent Van der Stockt interrogé dans ce premier numéro : « Nous rêvons tous de publier dans une presse qui se servirait de l’image intelligemment, mais elle n’existe pas. »
6 Mois pourrait bien être celle-là… Croisons les doigts pour que la mayonnaise prenne.
6 Mois pourrait bien être celle-là… Croisons les doigts pour que la mayonnaise prenne.