Lorsque je prends la direction de la Dordogne voisine et que je franchis le portail de la maison des beaux-parents, je sais par avance que j'y trouverai le journal Sud Ouest. Dimanche dernier, avant les tartines et le chocolat chaud, j'ai visé le salon et sa table basse ; il était là, quelque peu défait.
J'ai commencé par lire le récit de l'envoyé spécial à la «frontière» franco-italienne où des Tunisiens, «jouets» de deux gouvernements à peu près aussi grotesques et lamentables l'un que l'autre, rêvent de se reconstruire une vie dans un pays dont ils ne connaissent pas seulement la langue...
À la page «Toros», un article attire mon attention ; un court papier sur l'inscription par la France de la tauromachie à son patrimoine culturel immatériel dont je ne retiens que la fin : «Douce France, cher pays de mon enfance...» Alors, Zocato, plutôt Charles Trénet ou Rachid Taha ?
Vendredi 22 avril à Arles, le jour même de cette nouvelle (irréelle ?), El Juli faisait joujou avec un Garcigrande présenté deux fois au cheval... puis gracié !!! C'est bien ce que je disais : grotesque et lamentable.
Image Chez Jacinto Ortega © Laurent Larrieu