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Recouvrons-le de lumière
Campos y Ruedos n'a pas vocation à se mêler de problèmes de société, encore moins de politique. Ici, il ne s'agit pas de politique, c'est bien plus vaste. Il est dans l'air, en France — pas en Espagne, pas non plus en Allemagne dont on nous rebat les oreilles chaque fois qu'il faut nous contrarier par un exemple contraignant —, il est dans l'air du temps, disais-je, de vouloir pénaliser les clients de prostituées. Rien à voir avec CyR, même pas avec l'OCT, l'autre, qui n'observe qu'au sud des Pyrénées.
Non, si Campos y Ruedos lève aujourd'hui un sourcil sur cette nouvelle et lamentable péripétie pré-présidentielle c'est que vient d'entrer dans l'arène un certain Philippe Caubère, celui-là même qui a interprété et donné vie au très émouvant "Recouvre-le de lumière" d'Alain Montcouquiol.
Et c'est dans Libé que Caubère est entré dans l'arène, machos très apprêtés, et avec la même paire de cojones qu'il a fallu à César Rincón pour affronter 'Bastonito'.
Seul faux pas à mon sens, l'évocation de Cantat... Passons.
Voilà qui change divinement du "faux-cultisme" ambiant. Vivifiant.