Hier à Orthez (64), c'était ultragénial ! Il n'y a pas d'autre mot... et comme en plus c'est un mot à la mode, bien "hype", on ne va pas s'en priver.
Le lot des frères Jalabert (origine Domecq) était ma foi fort bien présenté quoique l'état des pitones des deux premiers laisse planer quelques interrogations. Au moral, ils furent ultrabons, ultrasavoureux, ultranobles et ultrabiens tout court. Ils furent en somme ultra-"propices au triomphe" comme le rêvent certains ultra-aficionados (?) dépenseurs d'encre dans d'ultragéniaux quotidiens régionaux. Du pain béni ce lot de Jalabert ! Ultrasympa avec la cavalerie de M. Bonijol qui a passé, je le soupçonne en tout cas, un après-midi fort agréable et bien calme. Une pique, toujours ultrabien placée vous le devinez, et pis c'est tout, c'était ultrasuffisant. Les torerasses qui composaient le cartel de cette corrida des fêtes ont été ultra-énormes et deux sont même sortis a hombros avec le mayoral de l'élevage. C'était ultrabeau comme image de fin, cette petite ronde cadencée par les notes ultra-originales de l'incombustible "Vino Griego".
C'était la corrida ultramoderne avec des toros ultramodernes qui ne sont conçus que pour un troisième tiers ultralong et ultra-attendu par tous. Et dans cette fête ultracool, il y avait Medhi, l'ultratorero, celui qui gueule plus fort que le dernier des biturés sur les gradins, celui qui fait des gestes ultra-esthétiques pour lancer les applaudissements des spectateurs, celui qui ose un desplante ultramacho entre le toro et la querencia (pourtant clairement affirmée) de celui-ci. Il a failli se faire ultradéculotter...
C'était donc une corrida ultragéniale au final, corrida qui enchanta deux mille personnes aux sourires "ultra-brite".
Le lot des frères Jalabert (origine Domecq) était ma foi fort bien présenté quoique l'état des pitones des deux premiers laisse planer quelques interrogations. Au moral, ils furent ultrabons, ultrasavoureux, ultranobles et ultrabiens tout court. Ils furent en somme ultra-"propices au triomphe" comme le rêvent certains ultra-aficionados (?) dépenseurs d'encre dans d'ultragéniaux quotidiens régionaux. Du pain béni ce lot de Jalabert ! Ultrasympa avec la cavalerie de M. Bonijol qui a passé, je le soupçonne en tout cas, un après-midi fort agréable et bien calme. Une pique, toujours ultrabien placée vous le devinez, et pis c'est tout, c'était ultrasuffisant. Les torerasses qui composaient le cartel de cette corrida des fêtes ont été ultra-énormes et deux sont même sortis a hombros avec le mayoral de l'élevage. C'était ultrabeau comme image de fin, cette petite ronde cadencée par les notes ultra-originales de l'incombustible "Vino Griego".
C'était la corrida ultramoderne avec des toros ultramodernes qui ne sont conçus que pour un troisième tiers ultralong et ultra-attendu par tous. Et dans cette fête ultracool, il y avait Medhi, l'ultratorero, celui qui gueule plus fort que le dernier des biturés sur les gradins, celui qui fait des gestes ultra-esthétiques pour lancer les applaudissements des spectateurs, celui qui ose un desplante ultramacho entre le toro et la querencia (pourtant clairement affirmée) de celui-ci. Il a failli se faire ultradéculotter...
C'était donc une corrida ultragéniale au final, corrida qui enchanta deux mille personnes aux sourires "ultra-brite".
A mon extrême-gauche sur les gradins, j'ai pourtant cru deviner sur le visage d'une femme en vert espoir que tout cela était peut-être un peu trop ultratriomphaliste et ultra-inquiétant...
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