Et cela fait maintenant 1 an et des pinchos que le blog de Camposyruedos rissole peinard, à feu doux, un poil épicé évidemment. Ici pas de phrase fétiche annonçant la couleur, du genre"quand une mouche pète à l'ouest, le vent se lève à l'est", pas d'épitaphe non plus (personne n'a encore perdu ses codes de connexion !), seulement des ris de mots, de petits canapés de rigolade, un toro de zozos, des toros pleins les yeux.
C'est pour lui qu'on cuisine, essentiellement pour lui : le taureau de combat. On l'écrit tous les jours, "ce n'est pas la peine d'en rajouter..." aujourd'hui.
Il y a plus d'un an, quand les "grands rénovateurs" du règlement taurin andalou avaient décidé de jeter aux orties le mot "trapío", selon eux périmé, notre réaction avait été de rechercher des définitions multiples de ce mot, de présenter en quelque sorte un "méli-mélo" déconstruit des diverses significations de cet idiome complexe, parfois subjectif, mais ô combien taurin et indispensable à notre apprentissage de l'univers du taureau de combat.
C'est pour lui qu'on cuisine, essentiellement pour lui : le taureau de combat. On l'écrit tous les jours, "ce n'est pas la peine d'en rajouter..." aujourd'hui.
Il y a plus d'un an, quand les "grands rénovateurs" du règlement taurin andalou avaient décidé de jeter aux orties le mot "trapío", selon eux périmé, notre réaction avait été de rechercher des définitions multiples de ce mot, de présenter en quelque sorte un "méli-mélo" déconstruit des diverses significations de cet idiome complexe, parfois subjectif, mais ô combien taurin et indispensable à notre apprentissage de l'univers du taureau de combat.