« Nîmes la romaine, la Madrid française, qui se croit au demeurant, l’une des plus grandes plazas au monde, a touché le fond, et est tombée de haut en ce milieu du mois de septembre. En aficionado nîmois cela fait mal à la plume, mais comme chroniqueur taurin libre, c’est un devoir que de l’écrire. Quand on est le numéro un ou quand on est dans le groupe de tête, on ne peut à ce point, se faire rouler dans la farine. C’est une idiotie que de dire : « Nîmes est une grande arène. » Nîmes est une grande plaza par la capacité des places à vendre, un point c’est tout ! Comme on y fait souvent le plein, la taquilla est à la hauteur de la chose et c’est ceci, uniquement ceci, qui fait qu’on nous brosse dans le sens du poil. Regardons les choses en face : Nîmes n’est pas grand-chose quand on va au-delà du satisfecit du mundillo. Avec cette féria des vendanges, ce fut le théâtre de la troisième division tauromachique ! »
Bon, alors selon vous c’est de qui ?