29 novembre 2011

Bon ben je crois qu'on peut commencer à pleurer


Je vous traduis rapidement un post de notre ami Manon.

« Et pourquoi faisons-nous tout ça ? Pour l'Afición, pour l'Afición, pour l'Afición » déclare sans rire Simon Casas.
NDLR 1 Eh bien je ne le crois pas l'ombre d'une seconde. On dirait bien qu'il répète « l'Afición » comme pour se convaincre. Une sorte de méthode Coué pour nous convaincre nous. Ça ne marche pas, désolé. Mais on continue d'en rire.

Ensuite, il a dit qu'il faudra tenir compte de l'aficionado. De l'aficionado, oui, mais pas des idiots… Il a également évoqué la prise d'otage des arènes par quelques-uns et d'autres choses dans le genre…
NDLR 2 Ça commence vraiment très très mal.

Manon s'interroge alors sur les critères qui différencient l'aficionado du tonto, de l'idiot. Par exemple, si je veux voir sortir des courses de Saltillo à Madrid : suis-je idiot ou aficionado ? Et si je veux voir lors de la San Isidro des Cuadri combattus par El Juli, Manzanares et Fandiño : suis-je idiot ou aficionado ? Etc., etc.
NDLR 3 Je ne sais pas, vous, mais j'ai l'impression que nous avons fini de rire. Ça n'aura pas duré longtemps. C'est quand même dingue, il n'est pas encore désigné directeur qu'il commence par insulter les aficionados. C'est dingue.

NDLR suite et fin La photo de Manon est évidemment tirée du Blog (de fotos) de Manon.