Pendant ce temps-là, à la même heure ou presque, El Batacazo, oui le nôtre, lui-même, est pris en otage en haut des arènes pendant plus de deux heures sans que quiconque ne lève le petit doigt pour le sortir de là.
Sans digresser à outrance, je suppute un complot, je constate l'injustice et je m’indigne vertement, quoiqu’à Dax il soit de meilleur goût de s’indigner en rouge et blanc ou de venir se répandre en Times New Roman non justifié sur une page Web qui sent fort le caca et... "lendemain de fêtes, caca qui fouette".
Je m'indigne et je tire la chasse.