La saignée des grands noms du campo Charro continue. Après Atanasio, au tour de Sánchez-Fabrés de se retrouver au pied de la potence. Ça devient écœurant d'écrire là-dessus, sur la mort des civilisations, sur la nostalgie de ce que l'on a aimé, sur ces encastes qui disparaissent.
Martín Ruiz Gárate 'Bastonito' l'a très bien fait sur son blog Taurofilia.
Rien que le titre en dit beaucoup, El toro pasteurizado, et le reste de son analyse vaut évidemment la peine d'être lu... et relu.
Photographie Deux vaches Coquilla de Sánchez-Fabrés en pleine pelea © Camposyruedos