Campos y Ruedos
Un immense merci à Thomas, à François... et à ceux-là...
Un immense merci à Thomas, à François... et à ceux-là...
"[A]llez CyR, vitement des Leopoldo Pomes, des récits de campo, des "Bonne année mon cul", des commentaires où on s'empoigne pour de vrai, des bagnoles à vendre, des albums de Murat... De l'eau à la bouche quoi" nous a récemment écrit Ludo, lecteur semble-t-il assidu.
Ça cause de quoi au juste Campos y Ruedos ? C’est vrai finalement... De quoi est-ce que l'on cause sans cesse, tous les jours, plus que tous les jours (près de 400 messages en 2007) même ? Y’a de quoi se poser la question des fois, non ?
Ben nous, à "CyR", ce qui est bien et agréable finalement, c’est que cette question, ben on ne se la pose jamais. C’est tout nous ça et un peu plus aussi, bien sûr.
Aucun objectif, aucune pression éditoriale ni jalousie ni concurrence, point de fantasme de reconnaissance ou d’excitation surdimensionnée à l’idée de serrer la paluche trop moite d’un taurino condescendant... Seulement une demie molle toute allégorique en poussant le portail rouillé d’une finca charra confiée aux crocs aigus de la solitude.
Campos y Ruedos c’est des mecs (6 ou 7) sans visage, sans voix, des silhouettes esquissées par la lumière agressive d’un écran de PC... Nous ne sommes personne et encore, ça n’a aucune importance de savoir qui nous sommes. Nous avons juste envie d’en parler, d’en écrire, de le comprendre, de le montrer... le TORO.
Ça s’arrête là les ambitions et c’est déjà beaucoup nous semble-t-il. Alors quoi ?
Alors ça va changer en 2008 ! Campos y Ruedos change, nouveau look et tout et tout... La mode est au noir avec pointes gris sombre éclairées de blanches paillettes. On est fashion ou on ne l’est pas. Campos y Ruedos se relooke pour être plus lisible, plus clair, plus recentré en somme sur le TORO. Campos y Ruedos change, oui, mais nous, nous ne changerons pas d’un cil, d’un sourcil ou d’un poil de... C’est promis, on change mais on ne change pas, on reste les mêmes, ceux-là qui ruinent leur caisse au campo pour entrapercevoir une corne sous un chêne, ceux-là qui ne saquent toujours pas l’afeitado et la pique trasera, ceux-là qui aiment voir toréer des toros dans le type et con trapío y poder, ceux-là qui montrent leur derrière à ceux qui les traitent d’ayatollahs, ceux-là qui photographient des dos nus parce que des fois la corrida c’est trop "relou", ceux-là qui pensent que Tomás est revenu pour sauver la crevette espagnole, ceux-là qui revendiquent Nîmes comme la reine du cosmos de la connerie, ceux-là qui pour ouvrir un blog taurin en 2005 n’ont rien trouvé de mieux que d’y coller la photo d’une midinette court vêtue... Ceux-là...
Oui, cher vous qui semblez vous inquiéter, "CyR" vous prépare encore des récits de campo, des Leopoldo Pomes, des albums de Murat et pleins d’autres trucs mais nous ne savons pas encore quoi... et c’est ça qui est chouette, finalement ! Mais par contre, ce dont nous sommes sûrs, c’est que notre observatoire à nous, nous, nous avons le cul posé dessus et il s'appelle... ... une place de tendido.
Ça cause de quoi au juste Campos y Ruedos ? C’est vrai finalement... De quoi est-ce que l'on cause sans cesse, tous les jours, plus que tous les jours (près de 400 messages en 2007) même ? Y’a de quoi se poser la question des fois, non ?
Ben nous, à "CyR", ce qui est bien et agréable finalement, c’est que cette question, ben on ne se la pose jamais. C’est tout nous ça et un peu plus aussi, bien sûr.
Aucun objectif, aucune pression éditoriale ni jalousie ni concurrence, point de fantasme de reconnaissance ou d’excitation surdimensionnée à l’idée de serrer la paluche trop moite d’un taurino condescendant... Seulement une demie molle toute allégorique en poussant le portail rouillé d’une finca charra confiée aux crocs aigus de la solitude.
Campos y Ruedos c’est des mecs (6 ou 7) sans visage, sans voix, des silhouettes esquissées par la lumière agressive d’un écran de PC... Nous ne sommes personne et encore, ça n’a aucune importance de savoir qui nous sommes. Nous avons juste envie d’en parler, d’en écrire, de le comprendre, de le montrer... le TORO.
Ça s’arrête là les ambitions et c’est déjà beaucoup nous semble-t-il. Alors quoi ?
Alors ça va changer en 2008 ! Campos y Ruedos change, nouveau look et tout et tout... La mode est au noir avec pointes gris sombre éclairées de blanches paillettes. On est fashion ou on ne l’est pas. Campos y Ruedos se relooke pour être plus lisible, plus clair, plus recentré en somme sur le TORO. Campos y Ruedos change, oui, mais nous, nous ne changerons pas d’un cil, d’un sourcil ou d’un poil de... C’est promis, on change mais on ne change pas, on reste les mêmes, ceux-là qui ruinent leur caisse au campo pour entrapercevoir une corne sous un chêne, ceux-là qui ne saquent toujours pas l’afeitado et la pique trasera, ceux-là qui aiment voir toréer des toros dans le type et con trapío y poder, ceux-là qui montrent leur derrière à ceux qui les traitent d’ayatollahs, ceux-là qui photographient des dos nus parce que des fois la corrida c’est trop "relou", ceux-là qui pensent que Tomás est revenu pour sauver la crevette espagnole, ceux-là qui revendiquent Nîmes comme la reine du cosmos de la connerie, ceux-là qui pour ouvrir un blog taurin en 2005 n’ont rien trouvé de mieux que d’y coller la photo d’une midinette court vêtue... Ceux-là...
Oui, cher vous qui semblez vous inquiéter, "CyR" vous prépare encore des récits de campo, des Leopoldo Pomes, des albums de Murat et pleins d’autres trucs mais nous ne savons pas encore quoi... et c’est ça qui est chouette, finalement ! Mais par contre, ce dont nous sommes sûrs, c’est que notre observatoire à nous, nous, nous avons le cul posé dessus et il s'appelle... ... une place de tendido.
En ce qui concerne les modifications apportées au site, il convient d’éclaircir un tant soit peu votre lanterne. La grande nouveauté réside dans la création d’un moteur de recherche qui vous permettra de rechercher des galeries et des textes. Après de longues discussions internes, les collaborateurs de Campos y Ruedos ont choisi l’option de conserver prioritairement les galeries de la rubrique "Campos". Il nous a semblé que ces images de campo étaient la marque de fabrique du site et correspondaient totalement à notre philosophie axée avant tout sur le taureau de combat. Ainsi, en cliquant sur "Campos" dans la page d’accueil, vous retrouverez la quasi intégralité des galeries de campo de 2005 à aujourd’hui. En entrant le nom d’un élevage dans le moteur de recherche, vous pointerez directement sur la ganadería désirée. Pour que le tout soit complet, nous avons aussi décidé d’intégrer dans le site tous les textes parus sur le blog concernant ces élevages. Pour le campo, 2008 s’ouvre, vous le constaterez, avec trois nouvelles galeries consacrées à une ganadería espagnole peu connue, celle de Jesús Pérez Escudero encastée Saltillo/Santa Coloma et sur laquelle nous reviendrons au cours de l’année, et à l’une des ganaderías françaises les plus en vue actuellement, celle de Robert Margé. Yannick Olivier est allé photographier fin décembre les vaches et les nouveaux-nés, ainsi qu’une partie de la camada de saca dont une course devrait sortir à Vic-Fezensac en mai 2008. Nous espérons que ces clichés de début d’année vous donneront de l’appétit pour la temporada à venir.
Pour les photographies et les galeries de la rubrique "Ruedos", nous n’avons conservé que les cinq galeries des corridas qui, à nos yeux, ont marqué l’année 2007. Pour autant, en entrant le nom d’une ville taurine (française ou espagnole) dans le moteur de recherche de la page "Ruedos", vous aurez tout le loisir de redécouvrir une liste de textes parus également sur ce blog entre 2005 et 2008 ; textes qui le plus souvent content nos impressions sur les spectacles auxquels nous avons assisté.
Et puis, si vous n’avez pas de recherche précise à effectuer, il vous suffira de cliquer sur le bouton "Afficher tout" pour découvrir la liste complète des galeries et des textes de chaque rubrique. Evidemment, il nous a paru opportun de conserver la rubrique "Photographies" qui nous permet lentement mais sûrement de vous faire découvrir ou redécouvrir des faiseurs d’images taurines de talent. Vous retrouverez donc dans la rubrique "Photographes" les hallucinantes photographies de Michael Crouser, le portrait époustouflant de Rafael pris par Philippe Taris, le triptyque expressionniste de Frascuelo composé par Juan Pelegrín à Las Ventas et tous les autres que vous connaissez déjà. Mais dès aujourd’hui, vous pourrez également y admirer une série de clichés de Michel Volle qui a eu la gentillesse (comme tous les autres) d’accepter que nous lui consacrions une galerie.
Si vous traînez du côté de Mont-de-Marsan cet été lors des fêtes de la Madeleine (fin juillet), rendez-vous en soirée à la peña A Los Toros, passez la cour où s’agglutinent festayres, taurinos ou simples anonymes et pénétrez à l’intérieur. Là, votre regard sera littéralement happé par ce cliché époustouflant d’un taureau de combat dans toute sa lumière. Un Marqués de Albaserrada lidié à Céret, une estampe, une scène de poil hérissé. C’est cet instant où le toro de lidia prend tout son sens que Michel Volle a su capter, lui qui fit les beaux jours de la revue Tendido il y a déjà si longtemps, particulièrement pour la partie Sud-Est de la France. Pour nous, et c’est pour cette raison que nous avions le souhait de lui demander une contribution, Michel Volle fait partie des grands photographes de toros de notre époque. Nous sommes donc fiers et honorés de lancer la nouvelle formule du site Campos y Ruedos avec certains de ses clichés parmi lesquels vous retrouvez le fauve du Marqués en charpentier cérétan de fortune... Puisse le "Campos y Ruedos nouveau" vous présenter de nombreux autres Michel Volle dans les années à venir...
En cliquant sur les liens ci-dessous, vous pourrez parcourir deux notices explicatives vous permettant de naviguer aisément sur le nouveau Camposyruedos... Bonne visite à tous :Notice 1 & Notice 2 explicatives pour le nouveau site...