Il nous plaît de reprendre ici quelques commentaires postés concernant le toro nîmois à la corne sanguinolente.
C'est tendido69 qui débute :
Le commentaire verbatim de Terres taurines : "Constat également, cette évidence : le talent de José Tomás est tel que même face à un toro accidentellement épointé et au pitón sanguinolent qui en toute autre circonstance déclencherait un début d'émeute, il entraîne le public à sa suite."
Le constat est d'une triste véracité (bien que je doute que le pitón sanguinolent en question déclenche beaucoup d'émeutes aujourd'hui quel que soit le matador), cependant la formulation laisse à penser que loin de constituer un sujet de consternation, il s'agit au contraire d'une preuve merveilleuse de l'emprise et du miracle du messie Tomás sur la tauromachie, donc d'un motif de réjouissance (!)
Ce genre de commentaire (ou de sous-entendu plutôt) me contrarie au (presque) point de prendre partie contre le culte "tomasiste". Mais répondre à la subjectivité un peu aveugle par la symétrique en allant chercher l'opinion contraire n'est pas réellement une preuve d'intelligence ou de lucidité... mais parfois la dévotion bigleuse porte sur les nerfs ! Hier soir, alors que ce grand bonhomme qu'est JT promenait l'appendice du quinto écorné dans le vacarme des applaudissements, j'ai essayé de manifester une vague contestation en désignant la main gauche qu'il avait quasi oublié d'utiliser (face à la seule corne présentable).
Ça m'a un peu navré en fait de faire ça et de passer pour le grincheux de service (mais je vous rassure tout le monde s'en foutait).
En guise de firma, j'attire votre attention sur le hasard qui fit que par trois fois la balance indiqua 460 kg hier soir (et vous renvoie aux remarques concernant la corrida du matin de dimanche de Pentecôte).
Anonyme lui répond...
C'est un fait... un pitón sanguinolent aujourd'hui, à Nîmes comme presque partout ailleurs, n'émeut plus personne, Tomás ou pas Tomás. Il n'est pas juste de le considérer comme le centre des problèmes de la Fiesta, pas plus qu'il n'est raisonnable de le prendre pour le messie. C'est lamentable mais c'est ainsi. J'adore José Tomás que j'ai vu AVANT. Et je suis désolé de voir le délire qui entoure aujourd'hui ses prestations. Délire venant de gogos ultraconditionnés par l'acharnement médiatique et qui ont pris le train en marche. Car ce torero, avant sa retraite, ils le regardaient sans le voir. Et contrairement à ce que dit Terres taurines le problème n'est pas d'opposer les élevage toristas (au plus mal) aux autres ; le problème est de présenter des corridas commerciale DIGNES. Comparez avec les toros de Bilbao tués par les mêmes matadors. Le constat est affligeant pour Nîmes et son public à la dérive.
Et laissons conclure Anonyme…
Putaing... Ils sont en quoi les petos de la famille Heyral pour laisser les cornes dans un pareil état !? ;-)
Le commentaire verbatim de Terres taurines : "Constat également, cette évidence : le talent de José Tomás est tel que même face à un toro accidentellement épointé et au pitón sanguinolent qui en toute autre circonstance déclencherait un début d'émeute, il entraîne le public à sa suite."
Le constat est d'une triste véracité (bien que je doute que le pitón sanguinolent en question déclenche beaucoup d'émeutes aujourd'hui quel que soit le matador), cependant la formulation laisse à penser que loin de constituer un sujet de consternation, il s'agit au contraire d'une preuve merveilleuse de l'emprise et du miracle du messie Tomás sur la tauromachie, donc d'un motif de réjouissance (!)
Ce genre de commentaire (ou de sous-entendu plutôt) me contrarie au (presque) point de prendre partie contre le culte "tomasiste". Mais répondre à la subjectivité un peu aveugle par la symétrique en allant chercher l'opinion contraire n'est pas réellement une preuve d'intelligence ou de lucidité... mais parfois la dévotion bigleuse porte sur les nerfs ! Hier soir, alors que ce grand bonhomme qu'est JT promenait l'appendice du quinto écorné dans le vacarme des applaudissements, j'ai essayé de manifester une vague contestation en désignant la main gauche qu'il avait quasi oublié d'utiliser (face à la seule corne présentable).
Ça m'a un peu navré en fait de faire ça et de passer pour le grincheux de service (mais je vous rassure tout le monde s'en foutait).
En guise de firma, j'attire votre attention sur le hasard qui fit que par trois fois la balance indiqua 460 kg hier soir (et vous renvoie aux remarques concernant la corrida du matin de dimanche de Pentecôte).
Anonyme lui répond...
C'est un fait... un pitón sanguinolent aujourd'hui, à Nîmes comme presque partout ailleurs, n'émeut plus personne, Tomás ou pas Tomás. Il n'est pas juste de le considérer comme le centre des problèmes de la Fiesta, pas plus qu'il n'est raisonnable de le prendre pour le messie. C'est lamentable mais c'est ainsi. J'adore José Tomás que j'ai vu AVANT. Et je suis désolé de voir le délire qui entoure aujourd'hui ses prestations. Délire venant de gogos ultraconditionnés par l'acharnement médiatique et qui ont pris le train en marche. Car ce torero, avant sa retraite, ils le regardaient sans le voir. Et contrairement à ce que dit Terres taurines le problème n'est pas d'opposer les élevage toristas (au plus mal) aux autres ; le problème est de présenter des corridas commerciale DIGNES. Comparez avec les toros de Bilbao tués par les mêmes matadors. Le constat est affligeant pour Nîmes et son public à la dérive.
Et laissons conclure Anonyme…
Putaing... Ils sont en quoi les petos de la famille Heyral pour laisser les cornes dans un pareil état !? ;-)