Vous ne pouvez pas ne pas l’avoir remarqué. Votre blog favori s’arrange, s’améliore, que dis-je, s’embellit chaque fois davantage afin de devenir plus agréable à parcourir... Tandis que la rubrique « Liens » s’enrichissait sérieusement, celle des « Libellés » grossissait, grossissait, grossissait — une surconsommation de chips et de saucisson sans doute — au point de constituer un index relativement conséquent où les noms des différents « posteurs » de Campos y Redos depuis 4 ans en côtoient une cargaison d’autres, propres ou communs, en tous genres... Disons-le tout net, avec panache et sans scrupules : « Campos y Ruedos, le blog taurin seul capable actuellement de proposer des libellés tels que "Karakalpakstan", "Neige au sud", "Jeu concours Pipi et cacahuètes", "Robert Motherwell", "Gastroentérite" ou bien encore "5 piques et +" ! »
Du côté des ganaderías, Victorino Martín, Miura et Palha composent sans surprise le tiercé gagnant... des élevages qui font parler. Du côté des plazas, Madrid se détache à l’aise1 quand Céret et Vic-Fezensac, au mépris de toute logique comptable, soufflent les 2° et 3° places à Nîmes et Arles — allez savoir pourquoi ?2 Du côté des matadors, montent sur le podium, dans l’ordre : José Tomás, Luis Francisco Esplá et César Rincón — « énnooorme ! » Le campo ? Il est principalement charro parce que proche et varié, attachant parce que rustique. Outre l’afición a los toros, citons également celles à la photographie, bien sûr, à la peinture, au flamenco, à la cuisine et au vin ou à... San Fermín ! Quant au rayon (chargé) de nos préoccupations, vous ne serez pas étonnés d’y retrouver au premier rang : l’afeitado, le tercio de varas, l’indulto, ces saloperies de fundas, etc.
Pour finir, permettez un triple et amical brindis a los tres locos de fotos de Campos y Ruedos que sont François ‘Solysombra’ Bruschet, Laurent Larrieu et Yannick Olivier — rien que de penser qu’il me faudra bientôt reprendre tous les posts des deux premiers histoire de les faire apparaître enfin dans la liste des libellés, je meurs !
1 Que Juan ‘Manon’ Pelegrín — l’Œil de Las Ventas — soit ici chaleureusement remercié de nous laisser piocher à loisir dans son extravagante photothèque.
2 « Nîchmes » et ses turpitudes où il n’a jamais été question de toros, et pour cause... Arles, terrain de jeu « préféré » de Solysombra qui brave l’ennui en y expérimentant de nouveaux cadrages et traitements.
Images SURF GUIDE © The Surf Enthusiast’s Magazine - October 1964 ● Pete © Shetland Islands surf trip