21 février 2011

Mariano Cifuentes Sánchez


Mariano Cifuentes aime ses Coquilla et le fait savoir, non seulement au travers de son blog mais également au cours d'entretiens et de conférences données aux quatre coins de l'Espagne, ou bien encore en accueillant chez lui, à « Encina Hermosa », l'aficionado curieux fou de campo.

Lors d'un entretien...
« Un jour, José Chafik m'avait quasiment convaincu de rafraîchir avec du Saltillo, mais j'ai pensé qu'en le faisant je perdrais un encaste unique. »
« Le public doit réclamer plus dans tous les secteurs : exiger une lidia complète, accorder davantage d'importance au toro... »

Dans une conférence à Casa Patas en compagnie de Jesús Cobaleda (Barcial)...
« J'aurais pu m'en aller avec du Domecq, mais je n'ai pas voulu. »

Sur son délicieux blog campero...
« Un toro se leva et commença à s'étirer. Ses muscles lourds se creusèrent et ondulèrent sous la peau poussiéreuse. Contracté, il s'en alla lentement rejoindre ses frères qui se reposaient ; l'un d'eux se mit à lui lécher le cou, laissant, à la place de la poussière, des taches noires et brillantes. »

>>> A Thomas, de Terre de toros, il a tout raconté de son destin de ganadero et de l'origine prestigieuse de ses Coquilla. Allez-y, c'est passionnant.

En plus Sur le blog de Veragua, on peut admirer les erales de Mariano Cifuentes (des morceaux de bravos portant le guarismo 9) qui seront combattus en novillada sans picadors, le 24 septembre prochain à Saragosse, par Alejandro de Benito, Martín Escudero et Carlos Ojeda — un Mariano Cifuentes cinqueño, ça donne quoi ??? Sur le couple Coquilla-Taurodelta (empresa de Madrid et de Saragosse, entre autres), nous aurons bientôt l'occasion de revenir...

Images Becerros añojos & fer de © Mariano Cifuentes