Merci pour vos toros que je n’ai
pas vus se battre — car un toro doit se battre, non ? —, à Las Ventas ce vendredi.
Merci non pas tant pour la tauromachie, qui a bien besoin de toros qui se
battent, mais surtout parce que, grâce à vous, il se pourrait que la personne qui
commet tous les jours ou presque des textes dans lesquels l’espagnolade
grotesque le dispute à des opinions politiques de comptoir totalement hors de propos sur un site soi-disant taurin décide de mettre — enfin ! — un
terme à ses élucubrations, écrites derrière un poste de télévision la plupart du
temps, c'est-à-dire quand il n’y a pas course à Bayonne et « nulle place ailleurs », comme ils disaient autrefois. D’ailleurs, il l’a écrit aujourd‘hui même à propos
de votre corrida de Madrid que lui seul a su voir : « 2 Juin: Plus je vois… plus je constate… plus je me dis que je
vais m’arrêter ! M’arrêter d’écrire de Toros ! M’arrêter d’aller aux toros ! »
Il l’a écrit !
Alors, merci Monsieur Cuadri, et puissiez-vous encore longtemps élever des taureaux de combat — y’a encore beaucoup
de boulot question séchage de plume.