Depuis ce jour, les terribles Miura sont devenus… rien. Depuis ce jour, le Fundi n’a pas pris une ride, pas une, et a tué des wagons de toros plus retors et plus méchants les uns que les autres.
Comme aurait pu le dire Desprosges, s’il avait été aficionado, Le Fundi s’en va, Castella est toujours là. Ce n’est pas bon ça, pas bon du tout. Bien sûr, c’est dans l’ordre des choses, mais qu’un matador de toros, un tueur de toros de cette trempe tire sa révérence, ce n’est pas bon. Personne n’y peut rien. Car ceci n’est rien d’autre que l’affirmation d’une modernité galopante et irréversible. Et ça pue.