
Le dimanche 9 avril, une partie de l'afición madrilène s'est retrouvée à l'entrée du tendido 10, ou une plaque commémorative a été apposée. C’est devenu une coutume, on y dépose quelques fleurs et on évoque la mémoire de cet incontournable et talentueux écrivain.

« Después de Vidal el diluvio » avait alors écrit le polémique Navalón, lui aussi depuis disparu. On ne peut pas dire qu’il avait tort. La critique taurine en 2006 n’est guère reluisante et on ne peut pas dire que la relève pointe le bout de son nez.
Joaquín Vidal nous manque… vraiment…